Ce qui m’effare dans le rapport de la Cour des Comptes d’octobre 2009, c’est la phrase suivante que je lis dans la conclusion :
« Force est de constater qu’aux questions simples posées par le
citoyen ; « Qui fait quoi et combien cela coûte ? », il reste encore après
la réforme de 2004 mal aisé de répondre. »
Alors après ça, heureux ou rudement savants ceux qui affichent des certitudes, comme Xavier Bertrand – entre d’autres.